Carl - Prof d'échecs - Paris
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Carl

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Carl - Prof d'échecs - Paris
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  • Échecs

Maître Fide, champion du monde de chessboxing, enseigne les échecs en ligne.

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Super professeur

Carl fait partie des meilleurs professeurs d'Échecs. Qualité du profil, excellence du diplôme, organisation rapide du premier cours, ses élèves l’adorent.

À propos de Carl

Je me présente, Carl Strugnell, né en Angleterre en 1981. A 6ans, je suis devenu champion de ma ville, Southampton, pour ma catégorie d'âge. Un peu par hasard car je jouais seulement avec mon père, non-compétiteur lui-même.

Arrivé en France à l'âge de huit ans, mes parents m'inscrivent au fameux club Caïssa, tenu par la charmante Mme Chaudé de Silans. Je passe mon adolescence à me construire en autodidacte, au coude à coude avec les meilleurs jeunes de l'époque, en participant aux nombreux tournois de la région Parisienne. A 16ans, j'ai mon premier classement FIDE 2140, sans vraiment travailler, que par le plaisir de jouer.

A 19ans, j'endosse le maillot de professeur, encore une fois "un peu par hasard", sans savoir quoi faire d'autre. J'improvise dans les cours, comme dans mon style de jeu, je n'ai pas d'école à proprement parler donc quoi leur apprendre aux élèves? Je prends des livres tactiques, donne des exercices à faire, mais, malgré le DEFFE et les clubs formateurs qui me rémunèrent (AECE, Cergy-Pontoise) et qui chantent mes louanges, je souffre du syndrome de l'imposteur.

Les années passent, et à force de mal faire je commence d'une part à prendre conscience des erreurs dans mon approche et d'une autre, à développer un goût pour la question pédagogique. Je deviens conscient qu'après une phase à bâcler le travail, je suis passé à l'extrême opposé; aussi bien au niveau de ma propre progression que celle de mes élèves, j'élaborais des projets impériaux que je n'étais pas en capacité de fournir! Plus de place au plaisir, seul le résultat m'obsède. Je passe de plus en plus de temps derrière l'écran à construire le répertoire d'ouverture parfait...et 100% du temps que je prévois à l'entrainement "autre" je la passe à lister les méthodes que je vais employer, sans jamais passer à l'action. Une procrastination constante qui n'était que le reflet d'une méthodologie qui se voudrait totalisante.

C'est là où j'ai compris certaines choses fondamentales: premièrement, un joueur, s'il veut progresser, doit avoir un entraineur. Il en est de même dans tous les domaines. Il doit choisir quelqu'un avec un niveau qu'il aimerait un jour atteindre avec des chances raisonnables d'y arriver. De préférence, quelqu'un qui est passé par son niveau, et qui connait ses problèmes. Finalement, quelqu'un dont il acceptera la méthodologie sans la questionner. Faute de quoi, le joueur doit faire deux travails: celui d'un entraineur et celui du joueur et les deux vont interférer désastreusement...
Deuxièmement, si l'on veut être un bon entraineur, il faut être passer par une école. L'autodidacte a sa façon de faire les choses, tout est très personnel, tout est en un panier, les qualités comme les défauts - et cela ne s'applique pas forcément aux autres! Bon nombre de GM calculent très bien, mais sont incapables d'expliquer ce qu'ils font (je ne parle même pas de pédagogie, ils ne pourraient se l'expliquer à eux-mêmes, ils font et puis c'est tout).
Enfin, l'entrainement ne doit jamais avoir pour enjeu de nous rendre complet en tous points. Il doit être un "tissu social d'adaptation", quelque chose qui accompagne le quotidien, à plus ou moindres doses, jusqu'à faire partie intégrante de notre vie. On ne peut pas forcer les portes du paradis et il est déconseillé d'essayer.

Depuis, j'ai étudié avec de nombreux GMs afin de m'imprégner de leur approche: Arthur Kogan, Alberto David, Dimitri Svetushkin, Murtas Kazhgaleyev, Vladislav Tkachiev, Andrei Shchekachev.

Au niveau de ma compétence échiquéenne, je suis Maitre Fide, mon meilleur classement a été 2337; 4 normes de MI à mon actif, et j'ai battu 14 GM en partie classique.

J'ai participé à deux Olympiades avec l'équipe du Pays de Galles (Baku 2016 au 2e échiquier - Batumi 2018 au 1er échiquier).

Fort de toutes ces expériences, nous avons co-fondé avec deux GMs de renom une Académie d'Echecs "Chess-Magic", qui propose des stages biannuels à la montagne en Serbie. Vous pouvez en avoir un aperçu sur notre site du même nom.

Je suis également, par ailleurs, Champion du monde de Chessboxing. La preuve en image ci-dessous (bon visionnage :) )

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À propos du cours

  • Tous niveaux
  • Français

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Français

Ma pédagogie de base:
Il faut d'abord différencier trois types d'apprentissage:
1) ce que l'on peut vous instruire en vous l'expliquant
2) ce que vous devez comprendre en vous creusant la tête
3) ce que vous apprendrez en vous familiarisant

1) Certaines choses vous pouvez les comprendre aisément avec une explication, il serait une perte de temps de réinventer la roue à chaque étape. Le jeu d'échecs a évolué sur une période d'environ 6 siècles, il va de soi que nous ne pouvons pas rivaliser avec cet étendu de temps. Donc, la transmission du savoir va de soi.

2) Maintenant, si tout vous est expliqué, vous pourriez écrire la page Wikipédia du cours, certes, mais sans lutter, nous nous sommes pas mis en situation de travail. Toute position, tout sujet, est en quelque sorte une excuse pour apprendre à se focaliser. Dans le même esprit, Aronian disait que celui qui ne connait pas la théorie des ouvertures mais comprend la stratégie, il aura les armes pour retrouver la théorie par lui-même. Il s'agit bien d'apprendre à pêcher et pas de se laisser offrir des poissons! Argumentum ad absurdum, celui qui pense arriver par la voie des connaissances pures, se verra confronter à une telle masse d'information, qu'il ne saura l'ingurgiter.

Pour l'anecdote, pendant ma vingtaine je me rendais souvent au célèbre Damier de l'Opéra; il ne me fallait que 10 minutes pour que je manque d'air: dès que je passais le seuil de la porte, "il faut que je lise ça et ça et ça"...la liste était à ne pas en finir!! J'en sortais à chaque fois avec un sentiment d'être incomplet, sans armes pour me défendre: je me conditionnais, en réalité, à me croire mauvais, inculte, à en oublier que les livres ne sont que des supports pour la réflexion.

Un jour, un ami, le MI Sébastien Cossin est venu dormir à la maison. Seb est naturellement doué, il a gardé un niveau à 2500 en faisant des études de médecine, c'est dire. Au réveil, il prend le premier livre qu'il voit, ouvre une page au hasard, et la machine est en marche. J'ai compris sa force: il n'a pas de temps à perdre avec des théories conceptuelles de la "complétitude". Moi j'ai longtemps raisonner de cette manière: "si j'ai un répertoire d'ouverture parfait que je connais par coeur+ j'ai analysé tous les plans qui en découlent avec un GM + je suis super entrainé en calcul + je connais toute la théorie des finales = je suis imbattable...oui, sauf que ça ne marche pas comme ça. Nous ne sommes pas des machines et nous ne pouvons injecter la connaissance par intraveineuse.

Alors, tout comme pour la boxe, où c'est plus limpide, nous ne pouvons simuler des conditions réelles de jeu, avec la motivation qui lui est propre: le cerveau sait que nous sommes à l'entrainement et on ne peut pas le convaincre du contraire. Il va falloir néanmoins essayer.

Mon 3) c'est ce qui échappe à la règle du 1) et du 2). Prenez la position de base de la variante Najdorf de la Sicilienne après 5...a6. Je peux vous expliquer que a6 contrôle b5, évitant qu'un Cavalier s'y installe, pour que je puisse bouger mon pion-e. Je peux même rajouter, sournoisement car facile à oublier, que ça évite aussi Fb5+ (sur...e5 par exemple) pour échanger le Fou de case blanche. Cela prépare aussi ...b5 et l'assaut futur à l'aile Dame. Tout ceci est vrai mais en réalité, cette énumération ne fait que lister des banalités qui deviendront seconde nature à force d'étudier.

Optons maintenant por la méthode 2) : "analysons cette position, forçons la à dévoiler ses secrets" et bien nous avons du pain sur la planche car des centaines de milliers d'ordinateurs se sont déjà penché sur l'évaluation et que cela ne nous a rien appris non plus. La raison c'est que la réponse n'est pas de l'ordre d'une analyse objective mais historique: 100ans d'échecs compétitifs ont résulté à ce que Najdorf tente ce coup, qu'il a eu du succès, et a été repris par d'autres.

Parfois, simplement, quelque chose qui parait compliqué, ne l'est parce que c'est la première fois qu'on la voit. Quand ça sera la centaine, on ne se posera même plus la question du pourquoi, ni du comment; il fera parti des meubles et pragmatiquement nous utilisons cette arme ou l'autre, notre expérience remplacera ces existentialismes.

Comment distinguer ce qui est véritablement complexe de ce qui l'est en apparence? Et bien il faut faire confiance à l'entraineur (ou bien changer d'entraineur!), lui saura à quels moments clés vous faire réfléchir pour que ce soit bénéfique.

Quelques détails: il ne faut pas laisser la quantité appauvrir la qualité. Il est vrai. Mais aussi(!) ne pas laisser la qualité trop interférer avec la quantité. Il est d'ailleurs dit, il y a un moment où la quantité devient qualité. Il faut du volume, tout en évitant d'être trop superficiel.

Alors à partir de là, concrètement, comment nous procédons:

Mon approche est avant tout culturel; il se base sur une connaissance des parties du 20e siècle où nous pouvons observer des schémas clairs; et aussi sur mes parties car ce qui se passe dans la tête d'un GM en 1950, je peux spéculer; ce qui est plus sûr, c'est que je peux parler pour moi.

Le travail consisterait à l'analyse des parties de l'élève, après quoi je peux lui référer à tel ou tel schéma déjà joué, que j'ai en réserve dans mes bases de données, nombreuses et bien cataloguées.

Puis, après les encouragements et les mis en garde, j'invite l'élève à expérimenter avec ces nouvelles idées, qu'il découvre sa façon de jouer, son style et que le tout reste un plaisir. Quand l'occasion se présente, j'aime à souligner les processus psychologiques à l'œuvre, et émettre des hypothèses, pour prendre le pas sur l'adversaire.

N.B: De vouloir construire une machine de guerre coute que coute, sans en connaitre les implications, c'est de toutes les façons contre-productif. (Science sans conscience n'est que ruine de l'âme!) Cette approche qui mélange culture, pratique et psychologie pose une fondation qui n'entravera pas le progrès, bien au contraire, mais tout en restant saine et ludique. Cela permet que je ne fasse pas du bâton et de la carotte mes ustensiles de travail, et d'arriver au cours décontracté. Et pour que l'élève le soit tout autant que moi, je ne regarde pas l'heure pour mettre fin au cours mais le sentiment d'une satisfaction.

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Tarifs

Tarif

  • 60€

Tarifs packs

  • 5h : 275€
  • 10h : 500€

webcam

  • 60€/h

Précisions

Une séance dure aux alentours d'une heure et demie.
La séance d'essai gratuite ne dure qu'une demi-heure.
Politique d'annulation à 50%: seulement sous 24h, sans quoi vous pouvez annuler en toute tranquillité.

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  • Quand avez-vous commencé à pratiquer ? Comment cette activité est venue à vous ?

    Mes premiers pas aux échecs ont été à l'école, à une époque où ce type d'enseignement se faisait encore rare en milieu scolaire. En rentrant à la maison ce jour-là, mon père me demanda, comme à son habitude, d'un ton automate, ce que j'ai appris. Quand je lui répondis "les échecs", son regard devint soudainement sérieux (il jouait avec ses amis en loisir). Au bout de six mois, se voyant systématiquement battu, mon paternel a mis fin à sa carrière. A ma fierté, (mais aussi la sienne aujourd'hui, avec le recul!), il m'inscrit en club, et le reste, comme on dit, c'est de l'histoire.
  • Quels sont les artistes ou les oeuvres qui vous touchent le plus ?

    J'aime les humoristes qui ont un fort message social, notamment Les Inconnus (j'ai appris le français, à huit ans, à travers leurs sketches et chansons). Autrement, les boxeurs (le noble art!) des années 80/90, avec qui je trouve beaucoup de ressemblances avec les joueurs d'échecs, exprimant leurs qualités de manière plus ostentatoire. Le jeu d'échecs pour moi est un mélange de lutte mentale et de situations amusantes. Il y a d'ailleurs tout un domaine dédié à la composition d'étude. C'est un art à part entière; et j'ai un engouement prononcé pour certains compositeurs (Womacka, par exemple, pour les connaisseurs). Une de mes techniques pédagogiques est de parsemer mes cours de moments "WOW", issus de la résolution d'études, afin de sensibiliser l'élève au côté extraordinaire du jeu.
  • Quelles sont les qualités requises, la part de patience ou d'adresse pour réussir dans ce domaine ?

    Il semblerait qu'aux échecs, chacun trouve midi à sa porte. On peut être un grand attaquant ou fin stratège avec le même succès. Le tout c'est de trouver les qualités qui vous sont propres, de découvrir sa nature véritable (et non imaginée), et devenir conscient des défauts potentiels du style que vous tentez de mettre en oeuvre afin de les minimiser. La pratique vous fera devenir "un honnête homme"; il a été sagement dit: le mensonge et l'hypocrisie ne persistent pas longtemps sur l'échiquier (Dr Tarrasch).
  • Un petit conseil pour nous aider à progresser et ne pas se décourager dans l'élaboration de projets ?

    Mon avis personnel à ce sujet, c'est que nous croulons sous les idéologies du perfectionnement coûte que coûte, et des discours d'un positivisme absolutiste. Cette motivation constante n'est tout simplement pas réaliste. Il faut éviter de se comparer aux champions qui n'ont pas évolué dans le même milieu, voire sont victimes d'une monomanie qui n'est pas à envier. En somme, il ne faut pas approcher un milieu culturel comme on monterait une entreprise; réjouissez vous plutôt de l'occasion de trouver un espace libre de l'utilitarisme ambiant. Laissez-vous le droit à l'erreur, et aussi à la paresse spontanée. On devient bon à quelque chose avec des années de pratiques, et il faut aimer votre activité pour perdurer autant. Comment aimer quelque chose qui vous fait chanter? Beaucoup de "Maitres d'Echecs" sont en réalité esclaves d'une promesse qu'un jour ils finiront par briller, (je parle d'expérience!) mais ce n'est pas forcément ainsi...le maître, par définition, est celui qui sait s'observer... et qui fait des échecs un miroir pour l'âme.
  • Faites-nous vivre votre passion en nous disant ce qu'elle vous apporte ! En avez-vous d'autres ?

    Le jeu d'échecs est mon pain quotidien. Quand il m'arrive de ne pas jouer quelques semaines...un malaise se fait ressentir...la reprise est dur, nécessite une concentration à 100%, que j'ai du mal à ramener sur demande. Puis je joue jusqu'au petit matin sans m'en rendre compte. Ce faisant, j'ai témoigné de coups esthétiquement plaisants, d'attaques barbaresques, j'oublie une subtilité dans une finale gagnante que je finis par perdre et j'huuuurle comme un loup solitaire au clair de lune de l'injustice que les Dieux m'ont fait. J'encaisse la blessure et repars au combat.

    Je pense que les échecs sont intrinsèquement liés à notre nature sauvage; le jeu donne satisfaction à des pulsations que la société actuelle n'est plus en mesure de fournir; tout en nous donnant les outils pour évoluer au-delà. C'est un outil d'accompagnement, édifier par les sages d'antan pour les primitifs que nous sommes à traverser les siècles en attendant que nos cerveaux digèrent la sédentarisation. Je plaisante un peu, mais à peine.

    Je pratique aussi la boxe. J'aime son mouvement, sa cadence, son esthétisme, sa nature guerrière et son respect sous la menace et la peur (même si ce n'est pas toujours l'image que l'on s'en fait à cause de sa classe médiatique, ses aspects existent sans le moindre doute). Il y a quelque chose du même ordre de ma vision des échecs, sous la forme physique.
  • Etes-vous particulièrement fier d'un travail que vous avez effectué ?

    Je dirais que mon plus grand succès est le premier stage que j'ai organisé. 32 participants, plus des accompagnateurs, se sont déplacés d'Angleterre, de France, de Suisse et de Belgique, de la Russie et du Kazhakhstan, pour venir à la montagne en Serbie, à 4 heures de l'aéroport le plus proche. Témoigner d'un tel niveau de confiance par (jusqu'à là) des inconnus, c'est un sentiment qui donner la foi. Monter un site web, émettre la publicité dans des magasines spécialisés, toute la logistique de l'hôtel, des bus de Belgrade à notre site, Mokra Gora. Mettre en place les salles avec projecteurs, échiquiers, pendules, et tout simplement vérifier que personne n'a besoin de rien. Le Bon Dieu nous a récompensé avec 7 jours d'un ciel bleu adriatique en fin de mois d'Octobre...
  • Avez-vous déjà été surpris par un élève, par ses capacités ou son évolution ?

    Me vient à l'esprit un jeune avec qui je travaillais. Ses parents voulaient qu'il connaisse le jeu pour sa culture, non pour percer dans le milieu. Il n'était pas inscrit ni en club, ni ne jouait sur internet. Le seul moment qu'il passait devant un échiquier était avec moi, une heure dans la semaine. Un beau jour, il décide de faire un tournoi jeune, et j'étais content qu'il voie autre chose du milieu, même si j'étais certain que l'entrainement sans grande pratique ne suffirait pas à faire un résultat. Et bien il a gagné le tournoi; il m'a dit que c'était facile, bien que fatiguant, l'air de rien, comme ça.
  • Être un Superprof, c'est tout un art ! Quel est votre secret ?

    Pas de secret! Les échecs c'est mon milieu, ça l'a toujours été. Je connais mon sujet, et je sais observer l'élève, spéculer sur ses besoins. Je suis confiant qu'avec le temps je tomberais sur ce qui lui inhibe ses progrès. Du coup mon travail est un plaisir; je finis souvent un cours avec plus d'énergie qu'en commençant.
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