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Notions et définitions indispensables en mathématiques

Pourquoi faut-il être bon en maths pour réussir en physique ?
Sans les mathématiques, il serait très difficile de pratiquer certaines sciences car beaucoup d'entre-elles se basent sur des axiomes mathématiques.

Ensembles de nombres (N, Z, Q, R, C)

N désigne l’ensemble des entiers naturels, on écrit N = {0, 1, 2, . . .}.
Z désigne l’ensemble des entiers relatifs, on écrit Z = {. . . ; −2, −1, 0, 1, 2, . . .}.
Q désigne l’ensemble des nombres rationnels : Q = { a/b ; a ∈ Z, b ∈ N∗ }.
R désigne l’ensemble des nombres réels, on a : R = R{0}.
R+ = {x ∈ R; x > 0} et R− = {x ∈ R; x ≤ 0}.
Tout élément appartenant à R et n’appartenant pas à Q est appelé irrationnel (√2 ∈ R \ Q signifie que √2 est un irrationnel).
C désigne l’ensemble des nombres complexes : C = {a + ib ; a ∈ R et b ∈ R} avec i² = −1

Exemples de nombres (naturels, relatifs, rationnels, irrationnels, complexes)

  • 0, 1, 2 sont des entiers naturels.
  • -3, -2, 6 sont des entiers relatifs.
  • 1/3 , 1/2 , −1, 2 sont des nombres rationnels.
  • π, √2, e sont des nombres irrationnels.
  • 1 + i = (1 + i√3) / 2 sont des nombres complexes.
beenhere
Remarque

Remarque : on a les inclusions suivantes : N ⊂ Z, Z ⊂ Q, Q ⊂ R, R ⊂ C

Les entiers naturels : propriétés et principes à connaître

En mathématiques, on suppose connu l’ensemble des entiers naturels ainsi que les opérations de base sur les nombres entiers naturels. Un principe très important portant sur l’ensemble des entiers naturels est le principe
de récurrence, nous allons dans la suite du cours décrire les principaux raisonnements permis par la
récurrence.

Le principe de récurrence est ici considéré comme un axiome, il équivaut à une propriété caractéristique de l’ensemble N des entiers naturels que nous n’exposerons pas ici.

Comment s'améliorer en algèbre ?
Compter n'est pas une chose si difficile que ça. Et pourtant, au fil du temps et de votre scolarité, les mathématiques vont se complexifier.

Récurrence faible : démonstration pas à pas

Soit P(n) une propriété dépendant d’un entier naturel n et n0 un entier naturel, si P(n0) est vraie et si pour tout entier naturel n > n0, la véracité de P(n) implique celle de P(n + 1) alors P(n) est vraie pour tout entier naturel n > n0.

beenhere
Remarque

On s’efforcera de rédiger une démonstration par récurrence en distinguant bien les trois étapes nécessaires à la preuve de la propriété, ces étapes sont l’initialisation, l’hérédité et la conclusion, cette dernière étant souvent "oubliée" mais pourtant incontournable, vous voilà prévenus !

Exemple

Démontrons par récurrence que pour tout entier n > n0, P(n) vraie.

Initialisation : P(n0) vraie, en effet : . . .

Hérédité : soit n > n0, supposons P(n) vraie, . . ., donc P(n + 1) vraie.

Conclusion : la propriété étant initialisée et héréditaire, on conclut par récurrence que : ∀n > n0, P(n).

Récurrence forte : extension du principe

Soit P(n) une propriété dépendant d’un entier naturel n et n0 un entier naturel, si P(n0) est vraie et si la véracité des propriétés P(n0), P(n0 + 1), . . . , P(n) implique celle de P(n + 1) alors P(n) est vraie pour tout entier naturel n > n0.

Récurrence : quand l’utiliser

Soit P(n) une propriété dépendant d’un entier naturel n et n0 un entier naturel, si P(n0) et P(n0 + 1) sont vraies et si la véracité des propriétés P(n0), P(n0 + 1) implique celle de P(n + 1) alors P(n) est vraie pour tout entier naturel n > n0.

beenhere
Remarque

On utilise la récurrence uniquement quand la propriété à démontrer dépend d’un entier naturel.
Les principes de récurrence forte ou à deux pas sont des conséquences immédiates du principe
de récurrence faible.
Avant d’essayer une récurrence il est bon de voir s’il n’existe pas une preuve directe souvent
plus rapide.

Notation des intervalles d’entiers naturels

Étant données deux entiers naturels n et p avec n ≤ p, on notera [n, p] l’ensemble des entiers naturels compris entre n et p. On adoptera la dénomination : « l’intervalle d’entiers compris entre n et p » pour le décrire.

Comment s'améliorer en mathématiques ?
Les théorèmes, définitions et autres démonstrations sont à connaître absolument pour votre compréhension et votre progression dans la matière.

Nombres réels : opérations et règles de calcul importantes

Addition des réels

Soient a, b et c trois réels, on a :

  • a + b = b + a (commutativité)
  • (a + b) + c = a + (b + c) (associativité)

On dit que l’addition des nombres réels est commutative et associative.

Multiplication des réels

Soient a, b et c trois réels, on a :

  • a × b = b × a (commutativité)
  • (a × b) × c = a × (b × c) (associativité)

La multiplication des réels est aussi commutative et associative.

Soient a et b deux réels, on a : a × b = 0 ⇐⇒ a = 0 ou b = 0

Soient a, b et c trois réels, on a :

  • a × (b + c) = a × b + a × c (distributivité à gauche)
  • (a + b) × c = a × c + b × c (distributivité à droite)

C’est la distributivité de la multiplication sur l’addition des nombres réels.

Règles de calcul sur les quotients

Soient a, b, c et d quatre nombres réels avec b et d non nuls, on a :
a/b + c/d = (ad + bc)/bd ; a/b × c/d = ac/bd ; a/b ÷ c/d = a/b × d/c = ad/bc si c ≠ 0

Valeur absolue et inégalité triangulaire

Soit x un réel, on notera |x| =

  • x si x > 0
  • −x si x < 0
beenhere
Remarque

Sur un axe gradué, |x| est la distance du point d’abscisse x à l’origine de l’axe.
De la même façon |a − b| est la distance séparant les points d’abscisses respectives a et b sur un
axe gradué.

Théorème : Inégalité triangulaire

Soient x et y deux nombres réels, on a :
||x| − |y|| ≤ |x + y| ≤ |x| + |y|
avec égalité en (1) seulement si xy ≤ 0 et égalité en (2) seulement si xy ≥ 0

Calcul avec radicaux

  1. Soient x et y deux réels positifs, on a : √xy = √x √y.
  2. Soit x un réel positif, √x² = x.
  3. Soit x un réel quelconque, √x²0 = |x|.

Attention, ce dernier point est un écueil sur lequel s’échoue bien des étudiants débutants... vous voilà prévenus.

Identités remarquables : développement et factorisation faciles

Pour tous réels a et b on a :

  • (a + b)² = a² + 2ab + b²
  • (a − b)² = a² − 2ab + b²
  • (a + b)(a − b) = a² − b²

Règles de calcul en algèbre : développer, factoriser et réduire

Développer une expression consiste à supprimer les parenthèses en respectant les règles de distributivité et des identités remarquables.

Factoriser une expression consiste à transformer une somme ou une différence en produit en respectant les règles de factorisation et les identités remarquables.

Réduire c'est effectuer dans une expression littérale des calculs possibles.

Distributivité et identités remarquables

On peut utiliser la distributivité de la multiplication.

\[ k \times \left( a + b \right) = k \times a + k \times b \]

\[ k \times \left( a - b \right) = k \times a - k \times b \]

\[ \left( a + b \right) \times \left( c + d \right) = a \times c + a \times d + b \times c + b \times d \]

\[ \left( a - b \right) \times \left(c + d \right) = a \times c + a \times d - b \times c - b \times d \]

\[ \left( a + b \right) \times \left(c - d \right) = a \times c - a \times d + b \times c - b \times d \]

\[ \left( a - b \right) \times \left( c - d \right) = a \times c - a \times d - b \times c + b \times d \]

Partie entière d'un réel

Soit x un réel, il existe un unique nombre entier relatif n tel que n ≤ x < n + 1.
Ce nombre n est appelé partie entière de x et sera noté ⌊x⌋.

Équations et inéquations : méthodes pour résoudre efficacement

Types d’intervalles de nombres réels

Les différents types d’intervalles de nombres réels :

  • [a, b] (fermé borné), contient tous les réels compris entre a et b inclus.
  • ]a, b[ (ouvert borné), idem mais a et b exclus.
  • ]a, b] (resp. [a, b[) (semi-ouvert borné), contient tous les réels strictement supérieurs à a et inférieurs ou égaux à b (resp. réels supérieurs ou égaux à a et strictement inférieurs à b).
  • [a, +∞[ (resp. ] − ∞, b]) (semi-ouvert non borné), contient tous les réels supérieurs ou égaux à a (resp. réels inférieurs ou égaux à b).
  • ]a, +∞[, ]−∞, b[ ou ]−∞, +∞[ (ouvert non borné) idem que précédemment avec des inégalités strictes.

Équation du premier et second degré

Une égalité est inchangée lorsque l’on ajoute un même nombre aux deux membres de l’égalité.
Une égalité est inchangée lorsque l’on multiplie par un même nombre non nul les deux membres
de l’égalité.
Soient a et b deux réels avec a non nul, l’équation ax + b = 0 possède une unique solution : x = −b/a.

On considère l’équation ax² + bx + c = 0 dans laquelle a, b et c sont trois réels avec a non nul.
Le nombre b² − 4ac est appelé discriminant de l’équation, il est noté ∆.
On rappelle alors le résultat suivant :

  • Si ∆ > 0 alors l’équation possède deux solutions réelles : x1 = (− b −√∆) / 2a et x2 = (−b + √∆) / 2a.
  • Si ∆ = 0 alors l’équation possède une solution réelle : x₀ = −b/(2a)
beenhere
Remarque

Dans le cas où ∆ > 0 on a le résultat suivant :
x1 + x2 = −b/a
x1 × x2 = c/a

Ceci permet, une solution étant connue, de déterminer l’autre très rapidement.

Inéquations et règles de manipulation

Une inégalité est inchangée lorsque l’on ajoute un même nombre aux deux membres de l’inégalité.
Une inégalité est inchangée lorsque l’on multiplie par un même nombre strictement positif les deux membres de l’inégalité.
Une inégalité change de sens lorsque l’on multiplie par un même nombre strictement négatif les deux membres de l’inégalité.

Majorants, minorants et bornes : comprendre les notions clés

Généralités sur majorants et minorants

On considère une partie A de R.

  • S’il existe M ∈ R tel que ∀x ∈ A, x 6 M alors on dit que A est majorée par M et M est un majorant de A.
  • S’il existe m ∈ R tel que ∀x ∈ A, x ≥ m alors on dit que A est minorée par m et m est un minorant de A.
  • Si A est majorée et minorée alors on dit que A est bornée.
beenhere
Remarque

Les réels m et M ci-dessus n’appartiennent pas nécessairement à la partie A

Exemple pratique

La partie A = { 1/n ; n ∈ N∗} est bornée par 0 et 1.

Définitions : plus petit et plus grand élément

  • S’il existe α ∈ A tel que ∀x ∈ A, x ≤ α alors on dit que α est le plus grand élément de A. On note α = max(A).
  • S’il existe β ∈ A tel que ∀x ∈ A, x ≥ β alors on dit que β est le plus petit élément de A. On note β = min(A).

Une partie de R n’admet pas nécessairement de plus petit ou de plus grand élément

Borne supérieure et borne inférieure

Soit A une partie de R, notons M+ (resp. M−) l’ensemble des majorants (resp. minorants) de A.

  • Si M+ possède un plus petit élément alors c’est le plus petit des majorants de A, on l’appelle la borne supérieure de A, notée sup(A).
  • Si M− possède un plus grand élément alors c’est le plus grand des minorants de A, on l’appelle la borne inférieure de A, notée inf(A).

Théorème sur les bornes supérieures et inférieures

Toute partie non vide et majorée de R admet une borne supérieure.
Toute partie non vide et minorée de R admet une borne inférieure.

Caractérisation des bornes

Soit A une partie non vide et majorée de R et α ∈ R.
α = sup(A) ⇐⇒

  • ∀x ∈ A, x ≤ α
  • ∀ε > 0, ∃x ∈ A, α − ε < x ≤ α

Soit A une partie non vide et minorée de R et β ∈ R.
β = inf(A) ⇐⇒

  • ∀x ∈ A, x ≥ β
  • ∀ε > 0, ∃x ∈ A, β ≤ x < β + ε

Nombres complexes : définitions, propriétés et calculs essentiels

Définition et forme algébrique

On admet l’existence d’un ensemble noté C, appelé ensemble des nombres complexes, contenant R et un nombre non réel noté i vérifiant i² = −1.
C est l’ensemble des nombres s’écrivant sous la forme z = a + ib où a et b sont des nombres réels.
Cet ensemble est structuré par une addition et une multiplication induites par l’addition et la multiplication dans R.
C = {a + ib ; (a, b) ∈ R²}

Égalité et propriétés des complexes

L’écriture z = a + ib d’un nombre complexe (où a et b sont des réels) est appelée forme algébrique de z.
a est la partie réelle de z et b est la partie imaginaire de z.

Notations : a = Re(z) et b = Im(z).

Deux nombres complexes sont égaux seulement si ils ont même partie réelle et même partie imaginaire,
i.e : a + ib = a' + ib' ⇐⇒ a = a' et b = b'.

Conséquences :

  • un complexe est nul seulement si sa partie réelle et sa partie imaginaire sont nulles ;
  • la forme algébrique d’un nombre complexe est unique.

∀(z, z') ∈ C² , zz' = 0 ⇐⇒ z = 0 ou z' = 0

Conjugué d’un nombre complexe : définition et interprétation géométrique

Un nombre complexe qui s’écrit iy avec y ∈ R est appelé imaginaire pur.

Conséquences :

  • un complexe est réel seulement si sa partie imaginaire est nulle ;
  • un complexe est imaginaire pur seulement si sa partie réelle est nulle.

On note iR l’ensemble des imaginaires purs.

Soit z = x+iy un complexe sous forme algébrique. Le nombre x−iy noté z¯ est appelé conjugué de z. z¯ = x − iy

Nombre imaginaire pur et nombre réel

Soit z ∈ C.
z ∈ R ⇐⇒ z = ¯z
z ∈ iR ⇐⇒ z = −z¯

où z = iy

Attention : pour a et b ∈ R, a − ib n’est pas le conjugué de a + ib si a et b ne sont pas spécifiés.

Conjugaison et symétrie axiale

Soit M un point d’affixe z dans le plan complexe.
Le point M' d’affixe z' est le symétrique de M par rapport à l’axe des abscisses du repère

beenhere
Remarque

La conjugaison est donc interprétée en terme de symétrie axiale dans le plan complexe.
Par suite il est facile de voir que le conjugué du conjugué d’un complexe z est égal à z. On dit que la conjugaison est une involution.

Résolution des équations du second degré : méthodes et astuces

Solutions réelles et complexes selon le discriminant

On considère l’équation ax² + bx + c = 0 dans laquelle a, b et c sont trois réels avec a non nul.
On pose ∆ = b² − 4ac et l’on a :

  • Si ∆ > 0 alors l’équation possède deux solutions réelles : x1 = (−b −√∆) / 2a et x2 = (−b + √∆) / 2a.
  • Si ∆ = 0 alors l’équation possède une solution réelle : x0 = −b/2a.
  • Si ∆ < 0 alors l’équation possède deux solutions qui sont des nombres complexes conjugués :
    x1 = (−b − i√|∆|) / 2a et x2 = (−b + i√|∆|) / 2a.

On dispose d’un résultat permettant la factorisation de l’expression ax² + bx + c = 0 si a non nul.

On considère l’équation ax² + bx + c = 0 dans laquelle a, b et c sont trois réels avec a non nul.

  • Si l’équation possède deux solutions réelles ou complexes x1 et x2 alors on a : ax² + bx + c = a(x − x1)(x − x2)
  • Si l’équation possède une solution x0 alors on a : ax² + bx + c = a(x − x0)²
beenhere
Remarque

dans le cas où ∆ ≠ 0 on a le résultat suivant :
x1 + x2 = −b/a
x1 × x2 = c/a

Ceci permet, une solution étant connue, de déterminer l’autre très rapidement.

Exercices pratiques sur les identités remarquables

Peut-on travailler en groupe sur un DM de maths ?
N'hésitez pas à demander des exercices supplémentaires à votre professeur si vous sentez que vous avez besoin de pratiquer pour vous améliorer. De même, vous pouvez travailler en groupe afin de progresser ensemble et avec moins d'angoisse.
1

Développer (a + 3)²

Solution

(a + 3)² = a² + 2 × a × 3 + 3² = a² + 6a + 9

2

Factoriser a² + 10a + 25

Solution

a² + 10a + 25 = (a + 5)² = (a + 5)(a + 5)

3

Développer (X - 5)²

Solution

(X - 5)² = X² - 2 × X × 5 + 5² = X² - 10X + 25

4

Factoriser y² - 6y + 9

Solution

y² - 6y + 9 = (y - 3)² = (y - 3)(y - 3)

5

Développer (a - 3)(a + 3)

Solution

(a - 3)(a + 3) = a² - 9

6

Factoriser t² - 25

Solution

t² - 25 = (t + 5)(t - 5)

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Clément

Freelancer et pilote, j'espère atteindre la sagesse en partageant le savoir que j'ai acquis lors de mes voyages au volant de ma berline. Curieux scientifique, ma soif de découverte n'a d'égale que la durée de demie-vie du bismuth 209.