Chapitres
Pratique sportive : entre liberté et conditionnement
Les pratiques sportives peuvent donner l’illusion qu’elles se réalisent en dehors de toutes déterminations.
Or, c’est même pratiques reconduisent les clivages économiques, sociaux, culturel, et sexuel.
Elles divergent parce qu’elles sont dépendantes de :
- détermination familiale
- contexte historique et géographique
- temps libre de chacun
- pouvoir d’achat du pratiquant
Le sport : miroir des classes sociales et reflet d’une élection
La démocratisation du sport laisse entendre que la classe populaire est celle qui pratique le plus.
Or, plus on s’élève socialement plus le taux de pratique augmente. Effectivement le sport est un marqueur identitaire social qui permet de signifier son appartenance tout en se distinguant. Il répète les spécifités sociales, économiques, et culturelles.
De manière générale, les femmes pratiquent davantage la danse et la patinage parce qu’elle matérialise des canons culturels de beauté et d’élégance.
A l’inverse, les hommes ont plutôt tendances à se tourner vers les sports où les contacts sont virils.
Au final les sports qui nécessitent effort et souffrance sont davantage pratiqués par les classes populaires. Parce qu’ils correspondent aux exigences et aux valeurs de leur milieux d’origine.
Sport et société : des liens étroits
Les pratiques sportives sont indexés aux conditions sociales qui les fonts naitre.
Toutefois le déterminisme n’est pas total. Il existe en effet des miraculés sociaux qui font exception. Par exemple, le golfeur Tiger Woods s’est imposé dans un environnement réservé à l’élite blanche.
Néanmoins ces phénomène de transition sociale sont assez rare : les habitudes apprises depuis le plus jeunes âge conditionnent les pratiques sportives
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