Chapitres
- 01. Exemple de plan
- 02. Exemples à mettre dans sa copie
- 03. Conclusion
Si interpréter consiste à donner une signification à un fait, un acte, un évenement, etc, on ne voit pas , ce qui pourrait échapper à l'interprétation. il est toujours possible d'interpréter ce que l'on veut, parfois meme jusqu'au délire ou jusqu'à l'absurde. l'interprétation est réputée infinie dans son domaine d'extension comme dans son processus,domaiine apparemment coextensif au monde, c'est à dire à la totalité des phénomènes réels et possibles.
Exemple de plan
I/l'empire du sens. A/ les signes. B/ l'interprétation de la nature
II/ les limites de l'interprétation. A/ expliquer et interpréter. B/ le rationalisme des sciences humaines.
Exemples à mettre dans sa copie
- le théatre/ la traduction / les arts/ le comportement humain/
- le langage/ les reves/ les textes bibliques ou philosophiques/
Conclusion
tout n'est pas interprétable. nous avons pu écarter du champ de l'interprétable d'abord la nature, ensuite l'absurde pour ne retenir enfin que les signes qui gfont l'objet d'une incompréhension première.RIcoeur a meme dit: " le travail de l'interpréte révèle un dessein profond, celui de vaincre une distance, un éloignement culturel, d'égaler le lecteur à un texte devenu étranger, et ainsi d'incorporer son sens à la compréhension présente qu'un homme peut prendre de lui meme." on prendra donc garde à ne pas confondre l'interprétation avec l'explication, ni avec la compréhension. on se gardera aussi de ne plus croire au lieu commun concernant la caractère infini de l'interprétation: celle ci a bien , au moins du coté de son objet possible des limites. Enfin l'examen de la question nous aura permis de prendre conscience de ce qui différencie, le travail de l'interpréte, fondé sur la croyance à du sens latent, et le travail du philosophe qui, sceptique, consiste plutot à dénoncer le non sens latent des énoncés humains.
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