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  1. 01. Consigne
  2. 02. Correction
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C'est parti

Consigne

A l'aide de vos connaissances, vous rédigerez la tragédie de Roméo et Juliette à l'époque contemporaine ( c'est à dire de nos jours ). Vous vous appuierez, sur l'histoire écrite par Shakespeare, en tenant bien sûr compte de la chronologie.

Correction

Un matin d'hiver, un groupe d'hommes, apparut brusquement, et finit par rencontrer ses opposants. Parmi eux, deux personnages se distinguaient, l'un était le chef du clan des Calahoud alors que son semblable dirigeait les Montolmerts. Pour des raisons inconnue, un soldat avança et vînt pointer son fusil sur le casque de son adversaire. Celui-ci se tût, il regardait le ciel et attendait, l'agresseur portait un gilet de coton où apparaissaient en petites lettres noires Monpérèze, un sifflement s'amplifiait.

Les deux commandants se faisait face, la tension régnait, le Montolmert, vêtu d'un large sweat blanc et d'un gilet de soie, laissait supposer que son corps avait été la cible de nombreuses balles et que la souffrance qu'il avait enduré, lui assurait une expérience supérieur sur la guerre. Il était dotés d'un caractère unique, sa vivacité, sa combativité et son orgueil était aisément comparable à celui d'un gorille. Son visage le confirmait, ses yeux noir comme le visage d'un africain soumis aux brûlure du soleil, laissait surgir une grande cicatrice, limitant sa capacité à visionner. D'un geste précipité, il vociféra :« Ce Pacte ne t'intéresserait-il plus ? ».

L'interlocuteur, abasourdi, ne tenta sur le coup de répondre. Son portrait, blanc comme neige, sur lequel, on voyait apparaître sous les yeux, des rides, sûrement dû à une fatigue incomparable, ne fit rien. Il semblait gêné, et réfléchissait aux paroles qu'il allait prononcées. Ses origines libanaises et ses prédécesseurs lui avaient appris, que la coopérations avec leur voisin israéliens devait se faire dans le calme : Chaques mots devaient être articulés avec soin et attention, afin de ne pas accentuer ou de provoquer la colère de son ennemi, qui devenait rapidement ingérable.

Émile Calahoud, avait, il y a de cela 5 jours, proposer un pacte auprès des Montolmert. Le Liban avait été la cible de nombreuses bombes construits par des firmes israéliennes, qui contestait un commerce omniprésent avec les grandes sociétés Américaines. Depuis le 11 Septembre 2001, une certaine agitation se détériorait avec les relations extérieurs. Mais ce petit pays en voie de développement, avait vu son chiffre d'affaire, s'accroître grâce au savoir faire des Libanais. Cependant, tout le monde savait qu'une guerre, approchait, et que des solutions devaient être rapidement prises. Seulement, les exigences Israëliennes nécessitait une somme insensé, avec l'assimilation des frontières territorial du sud.

Après un net instant, Émile releva son visage. Son antagoniste, d'un air soupçonneux, sans aucune considération, déclara : « Est tu en possession des conditions ? Ne me fait pas perdre mon temps, tes problèmes ne concernent que ta personne et les dévoiler ne pourrait que me donner l'envie d'agrandir ma terre et d'anéantir ton peuple ! Pense à jadis, je ne plaisante pas. ». Dans un acte de soumission et d'une fâcheuse incertitude, Émile négocia un délai supérieur, en annonçant que la somme exigée, ne tarderait à venir.

Loin, très loin, au delà de l'horizon, loin vers le nord-est, à côté des flots bleu-vert et huileux, qui gonflaient et s'agitaient pour former de petites crêpes d'écume blanche, malgré le froid, la bonne humeur et la joie se dégageait du visage des habitants de Beyrouth. Le jour J, était arrivé, la grande fête organisée pour le mariage du Fils Cadet des Calahoud, allait se célébrer. Plus de 500 invitations avaient été distribuées, toutes les grandes personnalités étaient invitées, les déguisements d'or et de soie, terminés.

Le futur marié, Fabien, était un homme grand, beau et fort intelligent. Son père était veuf, sa mère avait succombé aux maladies auxquels elle était atteinte, et le manque maternel, l'avait poussé à étudier dans le domaine médical. Dès l'age de cinq ans, il avait intégré une école capée, et avait fini par partir aux USA, afin d'obtenir un diplôme de chirurgien. Il avait nourri de grands espoirs concernant l'avenir de son pays, et avait pris conscience de l'importance des soins et de la médecine dans un pays en voie de développement. Il avait même prévu, une fois l'accord d'un traité diplomatique signé, d'instaurer une aide médicale à tout homme, et de dotés le pays de médecin compétents. Bien que son caractères doux, laissait se dessiner une silhouette amicale, il n'en était pas moins, que ses faits et geste, demeuraient influençables et qu'il était très dure de le manipuler ou de le persuader que ses propos étaient erronés.

Il avait fait la connaissance de Berthie, une jeune américaine qu'il avait rencontré, et tout deux, charmés par l'autre, avaient décidés de se marier. Son père, conscient, et preneur de toutes les opportunités qu'il pourrait exploiter, avait décider de festoyer cette événement en Israël, afin de faire bonne impression, malgré les remarques de son fils. Fabien avait une petite soeur, et un grand frère avec lesquels il parlait très peu. Son aîné Jérome, travaillait dans la finance, et traitait avec un grand nombre de compagnie. Il avait finis, par quitter le pays, lorsque la situation économique de sa patrie se détériorait, ce qui lui avait fait envisager de partir faire fortune dans la Silicon Valley.

Quant à Juliette, elle avait, elle aussi, reçu une bonne intelligence et une capactité de raisonnement peu commune, mais elle n'avait pu l'exploiter, en raison de son sexe. C'était une jeune fille calme, qui plongeait souvent dans des rêve insignifiant, et qui du haut de ses 1m62, attendait que son amour se dévoile. Elle passait le plus clair de son temps à lire, ce qui lui avait permis d'avoir une culture hors-norme, et d'engendrer parfois, la colère de son frère, sur le fondement de ses paroles. On lui avait, juste après sa naissance, attribuer une nourrice, qui devait exercer la tâche de son éducation féminine. Elle ne ressentait cependant, aucune émotions vis a vis de cet événement, car elle savait que si les négociations échouaient, elle allait être l'objet, d'un mariage arrangé, promise à un homme qui puissent satisfaire les besoins des Calahoud.

De l'autre côtés de la rue, en face du hall de l'entrée, un groupe de garçons, contemplaient les gardes qui veillait à ce que tout se passe correctement, durant la soirée. Discrétement, comme des araignées se déplace sur leurs toiles, ceux-ci avaient prévu de rentrer, incognito, et de profiter des privilèges, qu'offrait la fête. Parmi eux, Roméo, qui sans véritablement le savoir aurait pû être un enfant, dotés d'une inteligence, et enviser de poursuivre de longues études . Mais ce n'était qu'un impression d'ensemble, son passé et son casier judiciaire, comme le sac d'un facteur en Pologne, écourtait les ambitions de celui-ci. Il était le fils du « seigneur » des Monpérezes, et n'avait malheureusement pas bénéficier d'une éducation correcte, suites aux débordements de son père. Dans un pays en voie de développement et en état de guerre, les bagarres et deviennent généralement, banales. Roméo, avait commis de nombreux délits, mais qui n'était relativement pas grave, bien que certains l'avait conduit plus d'une fois en direction de la cour de justice, où des sanctions tels une boule de feu, s'appliquaient rapidement. En plus de ces travaux forcés, l'escapade chez le bijoutier lui valut une belle cicatrice au niveau de la bouche. Sa mère, elle, d'un caractère plutôt dépressif, s'était fait une raison, de l'indiscipline, que démontrait son fils, et avait acceptée le fait avec une sérénité, qu'on lui enviait ou reprochait parfois.

Après, un stratagème bien développée, les intrus, réussirent à pénétrer dans la salle et à marcher sur le parquet resplendissant. Les blagues, les danses et les grands discours firent place. L'amusement était à son comble.. L'odeur de bergamote, de fraises, et d'autres efluves qui se répandaient à travers l'air, leur mis l'eau à la bouche. Regardant ses acolytes, occupés à se goinfrer, Roméo décida d'explorer les réfectoires, afin de dénicher une matières quelconques, dont il aurait put s'emparer. Quand soudain, lorsque sa main effleura un grand cygne d'or et d'argent, une main se posa sur son épaule. Stupéfait, il se retourna, et vit que l'auteur de cette acte, n'était autre qu'une fille, vêtue d'un hijab blanc. Elle devait avoir son âge et ses cheveux châtain comme le crin d'un cheval, lui descendait jusqu'à l'échine. Elle se prénommait Juliette, et son adversaire, comprit rapidement, d'après son physique et sa tenue, qu'elle était la fille de l'organisateur. Roméo la regardait, sans rien dire, comme si, sa mémoire venait d'oublier, le passé. Il s'apprêta à lui poser une question, quand celle-ci, s'en alla, en courant, avertir, les gardes.

Le lendemain, après l'intervention et la course, avec les vigiles, où Roméo, après une belle chevauchée en compagnie des gardiens, avait réussi à s'en sortir, bien que difficilement. Ce ne fût pas vraiment le cas, de ses compatriotes qui une fois, repérés, n'avait put que recevoir des coups, avant de se retrouver dehors, les vêtements à moitié déchirés. Seul, Mercutio, exemple du blâme, était retenus, dans une pièce, accompagnés de plusieurs gardiens, où il allait vraisemblablement, être remis aux autorités. Seulement, Roméo ne s'en préoccupait pas, il avait plutôt la tête à revoir celle qui pour lui, définissait le mot « ange ». Une fois, sous le balcon, il aperçoit Juliette qui se confessait à voix haute sans se douter de la présence de Roméo. Celui se dévoila alors, et lui fit preuve d'un discours charmeur mais, trompeur. Comme envoûtés par cette amour, ils décidèrent, de s'en aller aux murs des Lamentations afin de se déclarer leur amour, et de glisser un morceau de papier dans l'une des entrailles de celui-ci, comme le veut la tradition.

D'un ton monotone, et d'un sentiment de liberté fort, Roméo regagnant ses compagnons, prit conscience de la situation de Mercutio. Son visage passa brusquement de la joie, à la colère. Sans le moindre réfléchis, il atteignit le poste de police, décrit par ses compères, où était retenu captif son ami. Il ne tenta pas de s'infiltrer comme il le faisait toujours, à travers les conduits d'aération ou par derrière, mais il prit la porte d'entrée, et prononça ses origines, ainsi que des menaces si on ne lui obéissait pas. Un homme, d'une vingtaine d'année, le visage mûre, s'apprêta à le maîtriser afin de la calmer puis de l'interroger, lorsque l'un de ses supérieurs, le bloqua. Il regarda l'adolescent, qui ne savait sûrement pas les conséquences de ses actes, et le passé dont disposait son père. L'agent, lui expliqua qu'ils avaient relâchés Mercutio, il y avait à peu près deux heures, et que celui-ci s'était rendu tel un lièvre, en direction de Tel Aviv. Roméo était rassuré, il savait que son camarade, ne risquait rien car en matière de combat, il était de loin, l'un des plus confirmés de Jérusalem. Rentrant chez lui, il croisa l'un des cousins de Juliette, Joachim, qui courait en toute hâte, il était présent à la soirée de noce, et avait connu quelques petits mésententes avec Mercutio. Surpris et méfiant, il le suivit, et aperçut Mercutio, à terre, frappé de toutes parts, par Tybalt, proche de Juliette. Il s'élança ç l'aide de son ami et se fraya un passage à force de coup, lorsqu'il parvint enfin à sa hauteur, Mercutio, s'écrasa sur le sol. Roméo s'efforça de lui porter secours, mais celui-ci se tenait l'abdomen avec son bras droit, la manche maculée de sang, pendant que les figurants, s'en allaient, le regard défiant.

Le seigneur Mertolmert, appris la triste nouvelle, et affirma que la mort de Mercutio, mettait fin aux diplomaties. Mr Calahoud, stupéfait, tenta par de nombreux moyens de convaincre et de résoudre les problèmes dont il était acteur. Au final, n'ayant pas d'autre choix, il promis sa fille à un homme d'affaire Japonais, ainsi que la partie sud du Liban à son adversaire. Les années, qui suivirent cette période, ne firent pas d'heureux, contrairement à ce que pensaient les négociateurs. Les attentats, les homicides et d'autres actes terroristes, retentirent dans tout le pays, et allait même jusqu'à, porter atteinte aux nations des alentours. Dans une situation délicate, dans un pays en voie de développement où il était laborieux de faire régner l'ordre, le jeune chef Calahoud, venait de commettre l'une des erreurs irréparables, réalisés également à la fin de la seconde guerre mondiale, qui consiste à donner son territoire et soumettre les habitants de force, aux exigences des partis politiques extérieurs.

Ces paroles ont été méditées à maintes reprises, et ont servis d'exemples dans de nombreuses causes. Cette histoire le confirme encore une fois :

"La passion est sourde et muette de naissance."

Honoré de Balzac.

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Agathe

Professeur de langues dans le secondaire, je partage avec vous mes cours de linguistique !