Chapitres
L'auteur de Frankenstein : Mary Shelley
Auteur du livre: SHELLEY Mary
Date de publication: 1818
Edition: Penguin popular Classics / 215 pages / Edition en anglais
Résumé de l'ouvrage
Lors d'une expédition vers le pôle nord Robert Walton et son équipe trouvent un certain Victor Frankenstein. Robert écrit toute l'histoire à sa soeur par lettre. Victor Frankenstein, alors dans un très mauvais état de santé, raconte à Robert son histoire. Victor est né à Genève, étant passionné de philosophie naturelle, il lit beaucoup de livres à ce sujet, et va à l'école d'Ingolstadt, où il veut poursuivre ses recherches sur la pierre philosophale. Il trouve alors le moyen de donner la vie. Il se donne corps et âme et créer un monstre. Il en devient complètement fou et sa famille s'inquiète. Clerval, un ami d'enfance, vient lui rendre visite, petit à petit, Victor se rétablit et retourne à Genève voir sa famille. William son frère meurt, étranglé dans les bois, il est persuadé que c'est le monstre qu'il a créé mais Justine Mortiz, la servante de la famille Frankestein, est accusée et condamnée à mort. Pour calmer sa douleur, Victor va se promener dans la montagne, quand il voit sa créature en face de lui. Il veut la fuire, mais le monstre veut que Frankenstein écoute ce qu'elle a à dire. La bête raconte alors son histoire: Tout le monde le fuyait, il a donc décidé de fuire, la nuit et dans la forêt.Il rencontre une famille, il se prend d'une certaine amitié pour eux, il les observe secrétement, et leur apporte de l'aide (récolter du bois). Un jour il se présente, en pensant se faire accepter, mais les trois membres de la famille le trouvent répugnant, et le fuient. Il s'énerve et brûle tout. Il part à la recherche de son créateur. Ensuite il explique à Frankenstein le meurtre de son frère. Il demande à Frankenstein de lui créer une femme, car il se sent beaucoup trop seul et il promet de disparaitre complétement de la civilisation. Victor accepte. Il part en angleterre avec son ami Clerval, et commence la création du monstre mais le détruit en se rendant compte qu'ils pourraient créer une descendance et être un danger pour l'humanité. La créature tue Clerval. Frankenstein est accusé puis acquitté et tombe malade, mais est soigné grâce à son père. Il retourne à Genève où il épouse Elizabeth. Frankenstein est très angoissé car la bête lui a promis d'être là le jour de ses nuits de noce. Il regarde partout, et ne s'aperçoit de rien, lorsqu'il entend un cri: Le monstre vient de tuer Elizabeth. En apprenant la nouvelle le père de Frankenstein en meurt. Victor décide alors de continuer sa vie à traquer ce monstre. Le monstre l'emmène dans le nord, car il est insensible au froid. A bout de force Frankenstein est sauvé par l'équipage de Robert Walton. Il est incapable de continuer la lutte et meurt. Le monstre surgit alors et regrette ce qu'il a fait.
Portrait des personnages
Le monstre de Frankenstein: Je préfère me centrer sur ce personnage car il est intéressant, et très intriguant pour les lecteurs. C'est donc le monstre auquel Frankestein a donné la vie. Il est très laid, répugnant. On peut l'imaginer conçu de différents morceaux d'anatomie humaine. Il est très grand, a une voix rauque, des yeux livides, et des dents très blanches. Il est insensible au froid. C'est un personnage violent qui a tué beaucoup de personnes, dont un enfant, et une femme. Mais en réalité il a juste besoin d'affection. Tout le monde le fuit, il est rejeté. C'est un personnage toute fois attachant car il a subit la volonté de Frankenstein et c'est lui qui est complètement rejeté de tous. Au fil de l'histoire on voit bien qu'au début c'est un être qui est vraiment gentil, qui aime le chant des oiseaux, et la beauté de la nature, il aime la présence de personnes, et à force d'être rejeté il devient alors violent. On peut dire que c'est une réaction en fait très naturelle.
Extraits importants de l'oeuvre
"Une sinistre nuit de novembre, je pus enfin contempler le résultat de mes longs travaux. Avec une anxiété qui me mettait à l'agonie, je disposai à portée de ma main les instruments qui allaient me permettre de transmettre une étincelle de vie à la forme inerte qui gisait à mes pieds. Il était déjà une heure du matin. La pluie tambourinait lugubrement sur les carreaux, et la bougie achevait de se consumer. Tout à coup, à la lueur de la flamme vacillante, je vis la créature entrouvrir des yeux d'un jaune terne. Elle respira profondément, et ses membres furent agités d'un mouvement convulsif"
"Mais je souffre d'un besoin que je n'ai pas encore pu satisfaire ; et l'absence de cet objet me touche maintenant comme le mal le plus sévère. Je n'ai pas d'ami, Marguerite ; lorsque l'enthousiasme du succès m'exalte, il n'y a personne pour participer à ma joie ; si les désillusions m'accablent, personne ne s'efforce de relever mon courage défaillant. Je confierai mes pensées au papier, c'est vrai, mais quel pauvre moyen pour communiquer ses sentiments !"
"Bien long, en vérité, est le temps qui lentement s'écoule avant que l'on puisse se résigner à l'idée que plus jamais l'on ne reverra l'être cher que l'on avait chaque jour auprès de soi et dont la vie même était comme une partie de la vôtre. Que l'éclat des yeux aimés se soit terni à jamais et que la voix si familière et si douce à entendre, se soit tue pour toujours. Telles sont les pensées qui vous obsèdent durant les premiers jours de votre deuil. Mais c'est seulement lorsque la fuite du temps vient préciser la réalité implacable de cette perte, que le chagrin s'installe avec toute son emprise"
La plateforme qui connecte profs particuliers et élèves
Si vous désirez une aide personnalisée, contactez dès maintenant l’un de nos professeurs !
Merci de ce résumé il m’aide à revoir les moments important pour un devoir que j’ai a faire surtout les moments ou je n’ai pas compris.
Merci agathe
merci bcp pour le resumer
Merci vous m’avez sauvez la moyenne
Bon courage pour les gens qui auront un contrôle dessus 🤗
Merci
Merci infiniment^^
Ouf, heureusement qu’il y a ce résumé, sans lui, j’aurai un zéro à mon interro
Tout le monde est dans le même délire