Cours de maths prépa ECS/ECE (et lycée et collège) à Paris

Méthodologie

Aimant enseigner, transmettre, ainsi que soutenir contre les diverses et multiples obstacles de la scolarité, je fonde ma « méthodologie » sur les éléments suivants : être à l’écoute des élèves, détecter leurs diverses incompréhensions ou lacunes, me mettre « à la place » des étudiants par une stratégie d’empathie réelle et sincère ; empathie qui doit représenter, avec l'observation, le dialogue ainsi que l'encouragement, les socles d'une pédagogie que je crois et espère équilibrée.

Les cours particuliers, contrairement aux cours en classe (souvent magistraux), sont idéaux du fait qu’ils s’adaptent au niveau actuel de l’élève, à ses capacités et à ses faiblesses.
Un « cours tout fait » sorti d’un livre ne servirait pas à grand-chose… L’élève doit être le centre et le pivot même du déroulement de chaque cours, afin de redonner confiance à celui-ci et l’aider à progresser pas à pas, en vue d’atteindre des objectifs précis et concrets :

Je saurai ainsi cibler les points essentiels et structurants en vue du Baccalauréat/des concours ; il est extrêmement important d’être bien préparé (mais SURTOUT de se « sentir prêt » – la donne psychologique joue pour beaucoup ! –) pour ces épreuves, afin d’y aller le plus « sereinement » possible.

Pour ce faire, je tâcherai systématiquement d'édifier ces deux piliers qui doivent impérativement soutenir et structurer le travail continu de l’élève : la maîtrise/compréhension parfaite du cours (sans ambiguïté et sans « zone d’ombre ») ET la réalisation d’un maximum d’exercices (c’est en forgeant qu’on devient forgeron).

Ces derniers devront être systématiquement, d’abord, abordés par l’élève « seul » ; puis, seulement après un travail de réflexion et de rédaction « solitaire » (qui peut – voire « doit » - être intense), nous discuterons de l’exercice en question, des difficultés rencontrées, des diverses interprétations possibles du texte ; et finalement : la correction ; que nous mènerons toujours à DEUX, prof et élève côte à côte, d’un seul homme, afin de construire et d’assimiler le plus durablement possible, l’intégralité des rouages et des mécanismes constitutifs de chaque exercice, qui, il faut bien l’avouer, reviennent assez fréquemment parmi les fils conducteurs et les trames de beaucoup d’épreuves. L’élève doit savoir les reconnaître, et même faudrait-il dire : les « connaître », et ce le plus intimement possible.